samedi 6 mars 2010

Mars 2010

Alors que nous allions signer le contrat avec la municipalité de Quito, nous nous rendons compte que nous devons attendre un an pour le faire, pour des raisons légales. En effet, notre directeur exécutif (qui est légalement le seul à pouvoir signer ce type d’ententes) nous ayant abandonné sans raison, nous devons attendre de pouvoir le libérer de son titre pour le donner à notre coordinateur général. Il semblerait que des obstacles se mettent constamment en travers de notre route.

D’autre par, Alex s’est chargé durant la première semaine de Mars de contacter une grande chaine de supermarché d’Equateur, plusieurs compagnies de téléphonie mobile, deux banques, une compagnie aérienne et le ministère du tourisme pour présenter le projet et leur proposer de financer une partie de notre projet, leur permettant d’améliorer leur image.

Dans le même temps, Laureline a été à la Chambre de Commerce pour qu’on lui expose un projet de travail solidaire et de promotion des initiatives franco-équatoriennes. Si nous répondons à tous les critères pour participer à leur projet, nous serions dans l’optique d’être financés ou recevoir du matériel d’entreprises solidaires. Notre fondation serait également présentée dans leur site internet et nous permettrait ainsi d’être plus visible.

Pour résumer ces bonnes nouvelles, nous pouvons dire qu’après un long moment d’errance, à engager des personnes intéressées uniquement par le projet dans l’optique d’y prendre le plus d’argent possible, nous trouvons enfin des personnes sérieuses et de confiance, qui sont prêtes à s’investir dans le projet sans contrepartie et dans le seul intérêt de la pérennisation d’une initiative solidaire.

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Vous touverez dans ce blog les récits des interventions d'éducation sexuelle, de prévention du Sida et des grossesses précoces réalisées en Equateur par prevenSud au cours de la mise en place d'un réseau d'éducation sexuelle.